vendredi 19 août 2011

Les championnats du monde de CO dans les Bauges

On avait décidé d'y aller entre collègues.
On devait se rejoindre à La Ravoir au super U, 25 minutes pour trouver le super U

Je me suis dit la Course d'Orientation c'est pas gagné pour nous.


vendredi 7 mai 2010

Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates

Très bon livre, je me suis bien amusé, j'ai bien ri, j'ai pleuré. Pourtant ce n'est pas une période bien gaie qui nous est raconté, l'auteur nous replonge dans l'occupation allemande. C'est tout dans l'émotion. C'est un très beau livre que j'ai dévoré.
Bref j'ai aimé.
Dans une citation de Sénèque, très réaliste, je vais la chercher et je la commente. "Les petits maux sont loquaces et les grandes peines sont muettes."
En fait il n'y pas grand chose à dire, sauf que c'est tout moi.
Je me plains comme beaucoup facilement, mais ce qui me fait réellement souffrir reste en moi.

lundi 19 avril 2010

Deuxième billet

Promis je cherche mieux comme titre, les prochaines fois. Là j'en avais un autre à la rigueur. Mais bon l'intensité de ma fainéantise fera le sujet d'un autre billet. Aujourd'hui,voilà le sujet : L'IMPATIENCE.
L'autre jour discussion avec C. à propos de Dexter (la série). Je voulais connaître la fin avant, je file sur internet et finis pas trouver les résumés et différents spoilers de la série. Connaissant l'issue de la série, j'étais enfin satisfaite.
"Pourquoi tu fais cela, tu te gâches le plaisir ?" Alors je reconnais que dans une série comme Dexter, je me suis réellement gâchée le plaisir mais d'habitude non. Je suis capable de regarder une série en connaissant la fin ou le déroulement de la saison.
En revanche, je ne suis pas capable de résister à savoir la fin.
Est-ce que cela fait de moi une moins bonne téléphage, une moins bonne sériphile ? C'est ce que tout le monde à l'air de penser. Est-ce que je suis seule ? Je ne pense pas.

Alors qu'est-ce qui me pousse à connaître les fins ? Une névrose sans doute. Je lis beaucoup également et vite. Donc je choisis quand je connais la fin, ce que je ne peux absolument pas faire avec la télé. C'est pas moi qui décide. Et c'est souvent les chaines de télévision françaises. En général, elles choisissent tardivement de nous donner la suite.

Quand on finit la saison d'une série, on sait qu'aux U.S.A., la saison d'après se termine. Et que l'on devra attendre un an avant de la connaître. C'est frustrant, pourtant enfant j'ai appris la frustration, mais je crois que la télé est un domaine futile où ma patience atteint ses limites. Je suis patiente par ailleurs : dans mon métier, dans ma vie de famille.

Mais avec la télé non.
C'est ainsi.
Je ne suis donc pas la seule.

Et si comme pour tout le reste, on appliquait la tolérance. Je suis comme cela et c'est tout, cela ne me dérange pas d'être spoilée, de connaître la fin ou la suite. Je n'en suis pas moins bonne téléphage pour autant.
Donc laissez- moi vivre avec mon défaut sans jugement, cela serait bien.

dimanche 18 avril 2010

Premier billet

Malheureusement, il n'est pas vert. En aurais-je réellement besoin ? Je saurais m'en passer et dilaper mes idées quand elles me viennent.